Les Français déclarent : « la vape est le meilleur moyen pour arrêter de fumer »
Paris le 28 septembre 2023, la France compte aujourd’hui 15 millions de fumeurs. Avec près de 200 décès chaque jour, le tabagisme reste l’une des premières causes de mortalité précoce dans notre pays. Depuis sa commercialisation il y a 18 ans, la cigarette électronique s’est imposée comme la solution la plus efficace pour aider les fumeurs à abandonner le tabac, loin devant les autres solutions de sevrage tabagique. C’est ce qui découle de deux sondages réalisés par l’IFOP pour le groupement « je suis vapoteur pour ne plus fumer », auprès d’échantillons représentatifs de la population française, composés respectivement de 1 012 personnes (grand public) et de 600 personnes (vapoteurs), entre le 1er et le 9 juin derniers.
(75 000 morts du tabac par an / 0 mort de la vape) *jesuisvapoteur
2 vapoteurs et anciens fumeurs sur 3 (66%), considèrent que la cigarette électronique demeure, de loin, la méthode la plus efficace pour mettre fin à leur addiction au tabac, devançant les patchs, gommes, sachets nicotinés et autres produits à base de nicotine. Ce chiffre imposant est à comparer avec les 74% de Français fumeurs qui ont essayé d’arrêter de fumer sans succès. Les utilisateurs de produits nicotinés sont 87% à constater une amélioration significative de leur santé. Ils ont remarqué à la fois une amélioration de leur odorat et de leur sens du goût. C’est pour cela que 76% des vapoteurs, recommandent la cigarette électronique à leurs proches.
(Interdire les arômes = un million de fumeurs en +)*jesuisvapoteur
En février dernier, le CNCT, lobbying anti-tabac, a demandé au gouvernement d’interdire la commercialisation des arômes dans les e-liquides, à l’exception des saveurs neutre et tabac. Une telle décision serait en totale contradiction avec les campagnes de lutte contre le tabagisme. Cela aboutirait à un triste bilan en effet puisque 6 vapoteurs sur 10 assurent que ces arômes ont joué un rôle indéniable dans leur processus de sevrage tabagique. La conséquence tragique de ce type de décision serait que près de la moitié des 3 millions de vapoteurs en France risquerait de retourner vers le tabac : 1,5 millions de fumeurs en plus, est-ce cela que l’on veut quand on sait qu’un fumeur sur deux meurt prématurément.
« Dans sa lutte contre le tabagisme, l’État devrait promouvoir la cigarette électronique qui contrairement au tabac n’a entrainé ni maladie identifiée, ni décès depuis sa commercialisation et je demande au gouvernement des études sérieuses pour mesurer les risques d’une loi trop contraignante sur la vape » déclare Florent Biriotti, cofondateur du groupement « je suis vapoteur pour ne plus fumer ».
Retrouvez la synthèse du sondage IFOP pour #JeSuisVapoteur
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