⚠ Nouveau rapport mensonger de l'OMS sur la vape ⚠

Nouveau rapport mensonger de l’OMS : à grand renfort de désinformation, l’Organisation Mondiale de la Santé réarrange les chiffres et présente la vape comme une porte d’entrée vers le tabagisme.

Le collectif JSV dénonce ce manque d’éthique flagrant.

L’OMS une fois de plus dans le mensonge et la surenchère

On sait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) coutumière du fait : chaque année, elle multiplie les rapports et les communiqués volontairement à charge contre la vape.

Problème : pour étayer ses accusations, elle ne s’appuie sur aucune donnée scientifique pertinente. Et la raison en est bien simple : les faits ne sont pas de son côté. C’est pourquoi elle préfère user de désinformation, comme elle l’a encore fait récemment [1].

Malheureusement, parce qu’on parle d’une figure de référence dans la lutte antitabagique mondiale, ses prises de position ne sont en aucun cas remises en question par les médias. Alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’arguments d’autorité, sans véritable contenu. On la croit sur parole parce que, tout de même, c’est l’OMS.

Et on a bien tort.

Non, l’effet passerelle n’existe pas

… Contrairement à ce qu’aime nous rabâcher l’OMS à chaque fois qu’elle en a l’occasion.

Ce n’est pas un point de vue, c’est un fait scientifique. Partout, les chercheuses et chercheurs l’ont démontré : la vape n’ouvre pas la voie au tabagisme. Elle lui fait concurrence et le contre [2].

Autrement dit, l’effet passerelle n’est rien d’autre qu’une fable, que les antivapes ressortent au besoin dès qu’aucun autre argument n’est disponible pour discréditer la vape. C’est-à-dire à longueur de temps, puisqu’aucune preuve valable démontrant l’inefficacité ou encore la nocivité du vapotage n’existe à l’heure actuelle.

Comme le réexplique d’ailleurs très bien l’éminent professeur Bertrand Dautzenberg, pneumologue et président de Paris Sans Tabac, au micro de France Info, le 7 octobre 2025 :

« L’idée que la cigarette électronique est une porte d’entrée dans le tabagisme comme c’est dit partout est entièrement fausse […] Dire que la vape, qui est apparue il y a 10 ans, est une porte d’entrée, alors que pendant le même moment on a 500 % de diminution du tabagisme chez les 16 ans, ça me parait tout de même difficile à continuer à soutenir, surtout que les études qui ont montré cela sont fausses »

Oui, le tabagisme baisse. Précisément grâce à la e-cigarette !

Bonne (et vraie) nouvelle tout de même : le tabagisme semble en baisse, relativement partout (où des produits alternatifs nicotinés leur font concurrence, pourrait-on ajouter).

Car, bien que l’OMS se refuse à l’analyser comme tel, d’autres l’ont fait avant elle : si la cigarette n’a plus de si beaux jours devant elle, c’est notamment grâce à l’arrivée de la cigarette électronique. À chaque fois, les années concordent : la démocratisation du vapotage est suivie d’une baisse drastique et inédite du tabagisme dans les pays en question [3].

Mais l’inverse est vrai également : lorsque les produits du vapotage sont restreints ou interdits, le tabagisme remonte en flèche, y compris chez les jeunes [4].

Or, l’OMS continue d’appeler à des restrictions plus strictes envers les nouveaux produits à la nicotine, comme la e cigarette. Ce faisant, elle participe à désinformer les gouvernements et les populations sur les risques relatifs à ces produits – considérés à minima comme 95 % moins risqués que le tabac fumé. Et plus encore : elle court-circuite son propre combat contre le tabagisme. Dérogeant de fait à sa règle première : protéger la santé des populations. Car si fumer tue, la nicotine non.

Il serait donc temps que l’OMS prenne ses responsabilités : un tel rapport mensonger sur la vape est indigne d’une telle institution, voire criminel. La désinformation répandue par l’Organisation Mondiale de la Santé contribue à mettre en danger la santé de millions de fumeuses et fumeurs dans le monde. Elle accuse l’industrie du vapotage de jouer au jeu de l’industrie du tabac, mais que fait-elle précisément ici, si ce n’est contribuer à éradiquer une solution de réduction des risques avérée ?