L’OMS le prouve une fois encore : les conflits d’intérêts à l’œuvre dans ses rangs lui font perdre toute raison. Plutôt que d’écouter la Science, cette Organisation mondiale de la santé préfère surfer sur les idées reçues et user de faux arguments, fondés sur la peur.
Pire encore, elle va même jusqu’à accuser tout chercheur indépendant apportant des preuves probantes sur la vape de complotisme avec l’industrie du tabac.
Si l’OMS n’a aucune preuve à fournir, mais condamne tout de même la vape, le mouvement JSV regorge quant à lui d’études et de données qui attestent de son efficacité et de sa sureté. Il lui répond !
L’OMS réaffirme ses positions contre la vape en dépit de toute preuve
Sous couvert de protection de la jeunesse, tous les États et Institutions s’y mettent. Alors que le gouvernement français a récemment dévoilé les objectifs du prochain plan antitabac 2023-2027, qui comprend de nombreuses mesures antivape, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en a profité pour inviter chaque pays à proscrire la vape de son territoire.
Dans un communiqué de presse du 14 décembre 2023, l’OMS déclare : « une action urgente est nécessaire pour protéger les enfants et les empêcher d’adopter la cigarette électronique » (1). L’argumentaire, si on peut l’appeler ainsi, diabolise point par point la vape, sans pour autant citer la moindre source…
Or, comme chacun le verra ici, en 15 ans, les données concluantes sur la vape ne manquent pas. Le collectif #JESUISVAPOTEUR, né de cette volonté de réinformer et de mobiliser sur la vape, a donc entrepris de répondre à l’OMS, point par point.
Selon l’organisation Mondiale de la Santé, la vape n’a jamais prouvé son efficacité auprès des fumeurs
Dès les premières lignes, l’OMS fait de la peur sa meilleure arme. Nonobstant toutes les études scientifiques réalisées depuis la création de la vape, elle n’hésite pas à déclarer :
« Une action urgente est nécessaire pour encadrer les cigarettes électroniques afin de protéger les enfants et les non-fumeurs et de réduire au minimum les effets néfastes sur la santé de la population. La cigarette électronique, en tant que produit de consommation courante, ne s’est pas révélée efficace pour aider les fumeurs à arrêter de fumer. Au contraire, des données alarmantes prouvent son effet néfaste sur la santé de la population ».
À ces premières accusations, non étayées par de quelconques données sourcées, JSV tient donc à rappeler :
- Que dans tous les pays d’Europe, les cigarettes électroniques sont déjà soumises à la Directive des produits du tabac, ou Tobacco Products Directive (TPD), datant du 3 avril 2014. Cette dernière est effective en France depuis 2017. De fait, en France, l’article L.3513-5 et R.3515-6 du Code de la santé publique interdit déjà à toute personne mineure, soit âgée de moins de 18 ans, de se procurer des produits du vapotage (2).
- Que la cigarette électronique n’a jamais été associée à de quelconques « effets néfastes sur la santé de la population ». Depuis son apparition, il y a plus de dix ans maintenant, elle n’a eu à déplorer aucun mort.
- Qu’effectivement, la cigarette électronique est un produit de consommation courante… auprès des fumeurs adultes en sevrage ! Plus que d’être connue et appréciée, la méthode fonctionne d’ailleurs très bien : en témoignent les divers sondages réalisés auprès de vapoteurs, dont celui de l’Institut français d’opinion publique (IFOP) pour JSV, datant de juin 2023 (3). Ou encore la première étude longitudinale publiée par Jean-François Etter en octobre 2023, qui a suivi des vapoteurs du monde entier de 2012 à 2021 (4) !
Au-delà de ces seules enquêtes de terrain, d’innombrables études viennent attester de l’importance de la vape en tant qu’outil d’aide à l’arrêt. C’est le cas de celles menées par Cochrane, revue systématique indépendante, de renommée scientifique mondiale. Sa conclusion ? Vapoter est d’une grande aide pour arrêter de fumer, plus efficace encore que d’autres substituts et traitements reconnus (5) !
Pour l’OMS, la vape est même toxique et cancérigène
Mais les fabulations de l’OMS ne s’arrêtent pas là. Quelques paragraphes plus loin, l’OMS va même jusqu’à attribuer à la vape des dangers jamais avérés – et bien au contraire, maintes fois réfutés : cancers, maladies cardiaques et pulmonaires, nocivité pour les femmes enceintes et leurs bébés, vapotage passif…
D’après cette institution mondiale, qui fait office de référence en matière de santé publique, « les cigarettes électroniques contenant de la nicotine créent une forte dépendance et sont nocives pour la santé. Même si leurs effets à long terme sur la santé ne sont pas encore totalement connus, il a été établi que les substances toxiques qu’elles génèrent peuvent provoquer des cancers et augmenter le risque de problèmes cardiaques et pulmonaires. L’utilisation de cigarettes électroniques peut également affecter le développement du cerveau et entraîner des troubles de l’apprentissage chez les jeunes. Chez la femme enceinte, l’exposition à la cigarette électronique peut nuire au développement du fœtus. Les cigarettes électroniques présentent aussi des risques pour les personnes exposées à leurs émissions ».
Par souci d’éthique et pour la juste information, JSV invite donc l’OMS à se rapprocher d’études telles que :
- Les nombreux travaux de Konstantinos Farsalinos sur les émissions de cigarettes électroniques et la théorie du vapotage passif (6), mais aussi l’étude REPLICA de 2022, menée par le Centre d’excellence pour l’accélération de la réduction des risques (CoEHAR), à l’Université de Catane en Italie (7). Et dont la conclusion est la suivante : « nos données confirment l’idée selon laquelle l’aérosol de cigarette électronique est beaucoup plus sûr et moins nocif que celui de la cigarette, ce qui en fait un outil utile pour réduire les méfaits du tabagisme »;
- Les rapports officiels du Royaume-Uni, dont le premier a estimé, dès 2015, que la vape est 95 % moins nocive que la cigarette de tabac, au moins(8). Conclusion réaffirmée chaque année depuis au regard des nouvelles études ;
- Les avis de rétraction d’études, ayant conclu sans preuve probante que la vape était associée à des maladies du foie (9) et des cancers (10);
- Les études sur le vapotage durant la grossesse (11), qui ne démontrent aucune mise en danger pour la mère ou le fœtus, et sont reprises par de nombreux tabacologues, dont le Dr Marion Adler, le Pr Bertrand Dautzenberg, ou encore le Dr William Lowenstein pour inviter les professionnels à conseiller la vape chez les femmes enceintes et fumeuses.
Et enfin, la publication de l’Action on Smoking and Health (ASH), principale organisation antitabac de Grande-Bretagne, qui s’enquiert de chaque idée reçue véhiculée sur la vape (et reprise ici par l’OMS) pour les réfuter une à une, preuves à l’appui (12).
Plus encore, la vape est au service de l’industrie du tabac, née pour piéger les mineurs
On retrouve ici le nouvel argument phare des antivapes : l’industrie du tabac serait à l’origine même de la vape et l’utiliserait afin d’assurer sa propre pérennité, en rendant accroc à la nicotine toutes les générations futures.
Aussi, d’après l’OMS, « l’industrie du tabac tire profit de la destruction de la santé et utilise ces nouveaux produits pour obtenir une place à la table des décideurs aux côtés des gouvernements afin de faire pression contre les politiques de santé. L’OMS est préoccupée par le fait que l’industrie du tabac finance et encourage l’utilisation de fausses preuves pour affirmer que ces produits réduisent les risques, tout en faisant une promotion intensive de ces produits auprès des enfants et des non-fumeurs et en continuant à vendre des milliards de cigarettes ».
Au-delà du simple fait que l’industrie du vapotage n’a rien à voir avec l’industrie du tabac et a été fondée pour la combattre, l’OMS semble sous-entendre ici que toute preuve scientifique en faveur de la vape serait manipulée par les cigarettiers. Peu importe que les chercheurs à l’origine de ces études soient des experts en tabacologie, en addictologie ou en réduction des risques, non affiliés de quelques manières que ce soit à l’industrie du tabac.
En revanche, lorsque l’OMS fournit des preuves (ce qui n’est pas le cas ici), s’appuyer sur des chercheurs à la coupe de Michael Bloomberg, principal financeur de nombreuses associations antivapotage, ne semble pas la déranger. Le conflit d’intérêts est pourtant flagrant !
Plus encore, l’OMS valide la théorie de l’effet passerelle, qui continue pourtant d’être réfutée dans le monde entier. « Toutes les études montrent que les jeunes qui utilisent des cigarettes électroniques sont presque trois fois plus susceptibles de consommer des cigarettes plus tard dans leur vie », indique-t-elle dans son communiqué.
Étrange constat lorsque l’on sait que pas moins de quatre études sont venues attester de l’inexistence d’un effet passerelle de la vape vers le tabac rien qu’au cours de l’année 2023, et ont même démontré son efficacité pour lutter contre le tabagisme chez les jeunes :
- En comparant les courbes du tabagisme et du vapotage dans plusieurs pays, mais aussi les ventes de cigarettes et de cigarettes électroniques, l’Institut national de recherche britannique sur la santé et les soins (NIHR) a démontré, en septembre 2023 (13), que vapoter ne conduit pas à fumer. En revanche, au regard des données recueillies, il en a conclu que plus le vapotage augmente, plus le tabagisme baisse !
- Une conclusion partagée par deux chercheuses américaines, qui ont analysé en détail la prévalence tabagique chez les jeunes Américains, de 1991 à 2022 (14). D’après elles, non seulement la vape ne mène pas au tabac, mais son arrivée coïncide même avec la baisse la plus drastique du tabagisme !
- En France, encore, deux études sont récemment venues en témoigner.
La première, qui a été réalisée entre 2018 et 2020 par l’Institut national du cancer (INCa) et l’Institut pour la recherche en santé publique (IRESP) auprès des lycéens de 15-16 ans dans le département de la Loire, a conclu qu’« aucune augmentation n’a été observée dans la progression du vapotage au tabagisme ». Et mieux encore que « la situation sanitaire des adolescents s’est globalement améliorée » (15).
La seconde, menée par six experts français de la lutte antitabac, dont le Pr Dautzenberg, a même réfuté 23 publications sur l’effet passerelle (16). Des publications qui se trouvaient toutes reprises par l’OMS dans ses réquisitoires antivape !
D’après l’OMS, les pays doivent donc « dissuader leur population d’utiliser ces dispositifs »
Pour toutes les « raisons » énoncées précédemment, l’OMS appelle ainsi les pays à « mettre en œuvre des mesures strictes pour dissuader leur population d’utiliser ces dispositifs ».
« Au regard des éléments dont nous disposons actuellement, il n’est pas recommandé que les pouvoirs publics autorisent la vente de cigarettes électroniques comme produits de consommation visant un objectif de sevrage », ajoute-t-elle plus loin.
Lorsque les pays autorisent la vape, elle recommande plutôt de « veiller à ce qu’une réglementation stricte soit mise en place afin de réduire leur attrait et leur nocivité pour la population, notamment en interdisant tous les arômes, en limitant la concentration et la qualité de la nicotine et en les soumettant à des taxes ».
Pourtant, au-delà des études théoriques et autres témoignages, les faits sont là : les pays ayant restreint ou interdit l’usage de la cigarette électronique sont loin d’avoir recueilli les effets escomptés.
En 2017, la Nouvelle-Zélande a même levé l’interdiction de vente de e-liquides après avoir constaté une recrudescence du tabagisme, et s’est alors orientée vers une politique de promotion de la vape qui a porté ses fruits (17). De même, aux États-Unis, une récente étude a prouvé le caractère plus que contre-productif de telles mesures antivape : à Washington D.C et sur 7 États et plus de 375 localités ayant adopté des restrictions sur les ventes de e-cigarettes et leurs arômes, les chercheurs ont constaté une hausse drastique du tabagisme (18).
À l’inverse, des pays nous ont déjà montré le chemin à suivre : celui de la réduction des risques.
En Angleterre, 13 % de la population fume toujours, un record pour le pays depuis qu’il s’appuie sur la vape au travers de campagnes de promotion inédites (19). En Suède, la prévalence tabagique est même tombée à 5 % ! L’objectif fixé par l’Union européenne a ainsi été atteint avec 17 ans d’avance, ce, grâce au snus, au sachet de nicotine et à la vape (20) !
En « interdisant tous les arômes », en « limitant la concentration et la qualité de la nicotine » et en soumettant les produits du vapotage « à des taxes », comme le souhaite l’OMS, les pays vont à l’encontre de la santé et du bien-être de leur population (21). Se risquant, comme d’autres avant eux, à voir le tabagisme revenir en masse dans le pays, avec toutes les maladies et les décès que cela implique…
Ce faisant, un tel communiqué de presse de la part d’une institution comme l’OMS est plus qu’alarmant. Il est dangereux, car il ignore volontairement la Science, les faits, les fumeurs adultes en sevrage, les vapoteurs en cours de sevrage et les succès accomplis par la vape depuis 15 ans.
Références :
(1) Communiqué de presse de l’OMS, « Une action urgente est nécessaire pour protéger les enfants et les empêcher d’adopter la cigarette électronique », 14 décembre 2023.
Le communiqué en totalité sur le site de l’OMS : https://www.who.int/fr/news/item/14-12-2023-urgent-action-needed-to-protect-children-and-prevent-the-uptake-of-e-cigarettes
(2) Directive 2014/40/UE du Parlement européen et du Conseil, Journal officiel de l’Union européenne, 3 avril 2014.
Le texte de loi complet en version PDF téléchargeable.
Article L3513-5 du Code de la santé publique, version en vigueur depuis le 24 décembre 2016.
Le texte de loi : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033678343
Article R3515-6 du Code de la santé publique, version en vigueur depuis le 15 août 2016.
Le texte de loi : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033045959
Retrouvez également les informations complètes de JSV sur la réglementation de la cigarette électronique.
(3) Le rôle des produits nicotinés dans le sevrage à la cigarette, Sondage Ifop pour JeSuisVapoteur, juin 2023.
Le sondage détaillé en version PDF téléchargeable.
Retrouvez également le compte-rendu de JSV sur l’enquête IFOP 2023.
(4) Etter J.F. An 8-year longitudinal study of long-term, continuous users of electronic cigarettes, Addictive Behaviors, 2023.
L’article complet sur ScienceDirect : https://doi.org/10.1016/j.addbeh.2023.107891
Retrouvez également le compte-rendu de JSV sur l’étude longitudinale de Jean-François Etter.
(5) Lindson N, Theodoulou A, Ordóñez-Mena JM, Fanshawe TR, Sutton AJ, Livingstone-Banks J, Hajizadeh A, Zhu S, Aveyard P, Freeman SC, Agrawal S, Hartmann-Boyce J. Pharmacological and electronic cigarette interventions for smoking cessation in adults : component network meta‐analyses. Cochrane Database of Systematic Reviews 2023, Issue 9. Art. No.: CD015226.
L’article complet sur Cochrane Library : https://doi.org/10.1002/14651858.CD015226.pub2
Retrouvez également le compte-rendu de JSV sur l’étude Cochrane 2023.
(6) Voir notamment Spyros Lampos, Evangelia Kostenidou, Konstantinos Farsalinos, Zoi Zagoriti, Aristeidis Ntoukas, Konstantinos Dalamarinis, Panagiotis Savranakis, George Lagoumintzis, Konstantinos Poulas. Real-Time Assessment of E-Cigarettes and Conventional Cigarettes Emissions: Aerosol Size Distributions, Mass and Number Concentrations. Toxics. 2019; 7 (3):45.
L’article : 10.3390/toxics7030045
(7) Rosalia Emma, Virginia Fuochi, Alfio Distefano, Konstantinos Partsinevelos, Sonja Rust, Fahad Zadjali, Mohammed Al Tobi, Razan Zadjali, Zaina Alharthi, Roberta Pulvirenti, Pio Maria Furneri, Riccardo Polosa, Ang Sun, Massimo Caruso, Giovanni Li Volti. Cytotoxicity, Mutagenicity and Genotoxicity of Electronic Cigarettes Emission Aerosols Compared to Cigarette Smoke : the REPLICA project. Scientific Reports, 2023, Oct 30;13(1):17859.
L’article complet en PDF (langue anglaise).
Retrouvez également le compte-rendu de JSV sur l’étude REPLICA.
(8) Les cigarettes électroniques sont environ 95 % moins nocives que le tabac, selon une étude historique, Communiqué de presse du Public Health England, 19 août 2015.
Le communiqué de presse du premier rapport anglais sur la vape : https://www.gov.uk/government/news/e-cigarettes-around-95-less-harmful-than-tobacco-estimates-landmark-review
Retrouvez également toutes les informations sur la réduction des risques : https://www.jesuisvapoteur.org/est-il-meilleur-de-vapoter-que-de-fumer/
(9) Raja Chandra Chakinala, Sameer Dawoodi, Stephanie P. Fabara, Muhammad Asad, Azadeh Khayyat, Sangeetha Chandramohan, Aysha Aslam, Nkechi Unachukwu, Bibimariyam Nasyrlaeva, Richa Jaiswal, Sriram B. Chowdary, Preeti Malikl, Rizwan Rabbani. Association of Smoking and E-Cigarette in Chronic Liver Disease: An NHANES Study. Gastroenterol Research, 2022;15(3):113-119.
L’avis de rétraction de l’étude en version PDF (langue anglaise).
Retrouvez le compte-rendu de JSV sur l’étude rétractée associant vape et maladies du foie.
(10) Chidharla A, Agarwal K, Abdelwahed S, Bhandari R, Singh A, Rabbani R, Patel K, et al. Cancer prevalence in Ecigarette users: a retrospective cross-sectional NHANES study. World J Oncol. 2022;13(1):20-26.
L’avis de rétraction de l’étude en PDF (langue anglaise).
Retrouvez le compte-rendu de JSV sur l’étude rétractée associant vape et cancer.
(11) McDonnell B, Dicker P, Regan C.L. Electronic cigarettes and obstetric outcomes : a prospective observational study. BJOG An International Journal of Obstetrics & Gynaecology, 2020.
L’article complet en PDF (langue anglaise).
Retrouvez le compte-rendu de JSV sur le plaidoyer du Dr Marion Adler à l’ATHS 2023.
(12) Aborder les mythes communs sur le vapotage, remettre les preuves en contexte, Action on Smoking and Health (ASH), 2023.
Le dossier complet en PDF (langue anglaise).
Retrouvez le compte-rendu de JSV sur les fakenews sur la vape.
(13) Étude internationale NIHR : Pesola F, Phillips-Waller A, Beard E, Shahab L, Sweanor D, Jarvis M & Hajek P. Effects of reduced-risk nicotine-delivery products on smoking prevalence and cigarette sales: an observational study. Public Health Res 2023;11(7).
L’étude disponible sur le site officiel du NIHR : https://doi.org/10.3310/RPDN7327
Retrouvez le compte-rendu de JSV sur l’étude du NIHR.
(14) Delnevo CD, Villanti AC. Dramatic Reductions in Cigarette Smoking Prevalence among High School Youth from 1991 to 2022 Unlikely to Have Been Undermined by E-Cigarettes. International Journal of Environmental Research and Public Health. 2023 ; 20(19):6866.
L’article complet : https://doi.org/10.3390/ijerph20196866
Retrouvez le compte-rendu de JSV sur cette étude américaine réfutant l’effet passerelle.
(15) André Wamba, Mabrouk Nekaa, Lara Leclerc, Christine Denis-Vatant, Julien Masson, Jérémie Pourchez, Regional French evolution of tobacco and e-cigarette experimentation and use among adolescents aged 15–16 years : A cross-sectional observational study conducted in the Loire department from 2018 to 2020, Preventive Medicine Reports, Volume 35, 2023, 102278, ISSN 2211-3355.
L’enquête complète sur ScienceDirect : https://doi.org/10.1016/j.pmedr.2023.102278
Le compte-rendu de JSV sur l’enquête ligérienne.
(16) Dautzenberg, B.; Legleye, S.; Underner, M.; Arvers, P.; Pothegadoo, B.; Bensaidi, A. Systematic Review and Critical Analysis of Longitudinal Studies Assessing Effect of E-Cigarettes on Cigarette Initiation among Adolescent Never-Smokers. Int. J. Environ. Res. Public Health 2023, 20, 6936.
L’article au format PDF (langue anglaise).
Le compte-rendu de JSV sur l’étude française réfutant 23 publications sur l’effet passerelle.
(17) Voir le compte-rendu de JSV sur la vape en Nouvelle-Zélande, de 2017 à 2023.
(18) Friedman A.S, Liber A.C, Crippen A, Pesko M.F. E-cigarette Flavor Restrictions’ Effects on Tobacco Product Sales. Social Science Research. 31 octobre 2023.
Le résumé de l’article en libre accès sur Social Science Research : https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4586701
Retrouvez également le compte-rendu de JSV sur les restrictions de la vape aux USA.
(19) Les fumeurs sont invités à troquer leurs cigarettes contre des vapes dans le cadre d’une première mondiale, Communiqué de presse du Ministère de la Santé et des Affaires Sociales sur le programme « Swap to stop » ou « échanger pour arrêter », 3 avril 2023.
Le communiqué de presse (en anglais) sur le site officiel du gouvernement britannique : https://www.gov.uk/government/news/smokers-urged-to-swap-cigarettes-for-vapes-in-world-first-scheme
Retrouvez également le compte-rendu de JSV sur le programme « Swap to stop ».
(20) Tais-toi et fume ! Reportage sur la Suède. Production Oneshot Media, 2023.
Disponible sur la chaîne YouTube Origines [O-Rigines] : https://www.youtube.com/watch?v=c3QYWzLvqXc
(21) Voir les études démontrant de l’importance et de l’efficacité des arômes dans le sevrage tabagique des fumeurs adultes. Notamment :
– Lin Li, Ron Borland, Kenneth Michael Cummings, Geoffrey T Fong, Shannon Gravely, Danielle M Smith, Maciej L Goniewicz, Richard J O’Connor, Mary E Thompson, Ann McNeill, How Does the Use of Flavored Nicotine Vaping Products Relate to Progression Toward Quitting Smoking? Findings From the 2016 and 2018 ITC 4CV Surveys, Nicotine & Tobacco Research, Volume 23, Issue 9, September 2021, Pages 1490–1497.
Disponible sur la revue Nicotine & Tobacco Research : https://doi.org/10.1093/ntr/ntab033
– Yoonseo Mok, Jihyoun Jeon, David T Levy, Rafael Meza, Associations Between E-cigarette Use and E-cigarette Flavors With Cigarette Smoking Quit Attempts and Quit Success: Evidence From a U.S. Large, Nationally Representative 2018–2019 Survey, Nicotine & Tobacco Research, Volume 25, Issue 3, March 2023, Pages 541–552.
Disponible sur la revue Nicotine & Tobacco Research : https://doi.org/10.1093/ntr/ntac241
Retrouvez le compte-rendu de JSV sur les arômes, clés d’un sevrage réussi.